Au gré des expos, les uns s'en vont, les autres reviennent, telle une famille qui se retrouve et se sépare (:
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LE POURQUOI DU COMMENT
- DELOIRE
- Tombé dans les grandes gueules de Mulatier, Ricord et Morchoisne, alors adolescent, je décidais de remettre ma crise d'adolescence dix années plus tard, m'adonnant durant cette période aux plaisirs solitaires... de la caricature. Aujourd'hui je vis de ma passion, c'est un luxe qui se paye cher, mais qui vaut le coût ! Auteur de quelques ouvrages, d'expositions et de collaborations avec la presse (entre autre Libération), je me balade un peut partout pour refaire le portrait d'âmes consentantes et compatissantes.
5 commentaires:
Dans toutes les familles y en a qui partent et qu'on ne regrette pas, et d'autres, au contraire, qui ne seront pas oubliés. Est-ce que tu as un portrait que tu affectionnes particulièrement ?
Et bien je crois que ce qui permet de continuer c'est de se dire que le meilleur reste à venir.
Autrement j'aime beaucoup Badinter, pas seulement pour le dessin mais aussi pour ce que l'homme représente.
Un sujet ne doit pas indifférer, en tous cas je remarque qu'au delà des critères affectifs le choix du sujet (caractéristiques) est essentiel pour donner le meilleur.
Je n'aime pas dessiner les peoples, les sportifs en général, à part quelques exceptions.
Bref des gens qui marquent leurs domaines, politiques, cinema, et leur époque.
C'est comme ça que j'arrive encore à trouver du plaisir dans le fait de dessiner.
As-tu dessiné une fois Georges Frêche?
En voilà une figure rejetée par sa famille et qui pourtant était loin d'être ordinaire...
Bises
Leo, je l'ai dessiné plusieurs fois, entre autre pour un journal satirique de montpellier.
Tu sais que lorsque que l'on est pas ordinaire on est souvent rejeté (:
bises et merci de ton passage.
Je viens de passer par votre blog et j'ai adoré les dessins. Bravo
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